Aujourd’hui (Juin 2025), Minimal Wave dûment informé par moi-même, viole délibérément, sans aucun scrupule, tous mes droits relatifs à DEUX, qu’ils soient moraux, patrimoniaux, ainsi que mon droit à l’image
par Cati Tête, juin 2025
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Il y aura bientôt deux ans (sept 2023) , quand j’ai découvert que Minimal Wave, sur la base de contrats depuis longtemps expirés (ou jamais signés pour comme pour le EP LET’S GO 2023) publiait et exploitait des disques, des t-shirts, de DEUX sans m’en informer et sans mon autorisation (ni celle des ayant-droits de Gérard), j’ai interdit aux responsables de ce prétendu label d’exploiter mes chansons, mes images, mes photos, mes pochettes, les photos de moi-même, non nom… Je constate aujourd’hui, que ce label continue cette exploitation, sans aucune honte, en faisant preuve du plus profond mépris envers ma personne et ma volonté. (voir article L111 et suivants).

Si à l’époque, Minimal Wave, par la voix de Mme Vasicka, a prétendu que Gérard Pelletier (décédé le 01/01/2013), leur avait donné tous les droits sur les œuvres de DEUX (???), et ne leur avait jamais parlé de moi (???), ni donné mon contact (mensonge éhonté) ; aujourd’hui ce n’est plus le cas.

Aujourd’hui (Juin 2025), Minimal Wave dûment informé par moi-même, viole délibérément, sans aucun scrupule, tous mes droits relatifs à DEUX, qu’ils soient moraux, patrimoniaux, ainsi que mon droit à l’image (Toutes les bannières de Minimal Wave que ce soit sur Youtube ou ailleurs utilisent mon image, sans aucun droit, sans mon consentement et contre ma volonté).

De plus, ce label détourne mon nom et celui de DEUX (en tant que membre fondateur, je suis légalement DEUX aujourd’hui) pour attirer des followers (par exemple bandcamp) dans ses filets et leur vendre des vinyles de contrefaçon (voir ci-après) des téléchargements illégaux, exploités sans autorisation et contre ma volonté.


Comme me l’a écrit avec aplomb Mme Vasicka , Minimal Wave n’a jamais demandé d’autorisation de pressage à la SACEM, ni payé de droit de reproduction mécanique, sous prétexte qu’elle a déclaré les titres de DEUX à l’ASCAP (dont ni Cati Tête, ni Gérard Pelletier ne sont membres…).

Il y a quelque temps, l’ASCAP nous a confirmé par courrier qu’elle ne se substituait en aucun cas à la SACEM, qu’elle ne délivrait pas d’autorisation de pressage et ne collectait pas les droits de reproduction mécanique, (c’est également précisé dans leur règlement). L’ASCAP collecte uniquement les droits de diffusion de DEUX aux USA pour le compte de Minimal Wave !


Il me semble que : demander une autorisation de pressage et d’exploitation à la SACEM, pour les titres de ses sociétaires, est OBLIGATOIRE et valable pour tous les labels du monde depuis près de 100 ans. Visiblement, le label Minimal Wave s’en prétend dispensé, pour DEUX et sans doute tous les autres adhérents de la SACEM de son catalogue...

Le service juridique de la SACEM (qui a été informé, mais qui prend son temps… je ne suis pas visiblement pas une priorité) m’a confirmé que pour chaque édition n’ayant pas fait l’objet d’une demande d’autorisation (15 jours avant pressage) et de paiement des droits de reproduction mécanique, la SACEM/SDRM publiera un avis de contrefaçon (Quand ? Je patiente...).

Je suppose que la SACEM doit examiner de près l’entièreté du catalogue Minimal Wave. Lors d’un futur procès, la SACEM se portera très certainement partie civile et réclamera son dû ; probablement plusieurs dizaines de milliers d’euros.


Quoiqu’il en soit, et quel que soit le temps que ça prenne, il ne fait aucun doute que les responsables chez Minimal Wave (et Electronic Sound UK, pour le Single EUROPE/PARIS ORLY publié et commercialisé sans m’en informer) seront, à un moment donné, poursuivis pour contrefaçon, violation du droit moral, violation du droit à l’image, appropriation frauduleuse de phonogrammes, etc, etc, etc, etc... (Articles de Loi de référence : L335-4  (droit interprète) et L335-2 (droit  d'auteur et contrefaçon).

[La procédure est longue et pénible ; engager des poursuites judiciaires à l’étranger, et aux USA en particulier, est assez complexe. Cela fait plusieurs mois que je suis empêtrée dans tout ça. D’autant que : les ayants-droit de Gérard me sont inconnus, et les organismes : SACEM, notaires, etc, ne se précipitent pas pour répondre… Les avocats avec qui j’ai eu affaires ne se montrent pas toujours compétents sur la question… Bref, l’enfer ! Mais, il reste plusieurs années pour agir, je ne perd pas espoir. D’autant que le droit moral est imprescriptible.]


Je rappelle que les contrats pour : Decadence (LP) et Golden Dreams - (EP) qui ont été signés pour 5 ans - sont expirés depuis près de 10 ans. Il faut aussi savoir, que Minimal Wave n’a jamais respecté ces contrats. Des royalties ont été versées une seule fois, au cours de l’hiver 2011/2012. Sitôt Gérard décédé, Mme Vasicka s’est empressée de m’oublier, de faire comme si je n’avais jamais exister. Néanmoins, en 2023, Minimal Wave, m’a proposé de l’argent (par exemple : 375 euros pour une réédition (Decadence, Golden Dreams), 0 euros pour Let's Go). Argent que j’ai refusé. D’après un avocat et le service juridique de la SACEM, j’ai eu raison de refuser, surtout sans contrat ; ça aurait été valider leurs agissements et prendre le risque d’être complice de contrefaçon.

Il faut dire que Mme Vasicka, Minimal Wave, prétend que Gérard Pelletier, avant de mourir, lui a cédé verbalement « ad infinitum » (selon ses propres termes) les droits de toute l’œuvre de DEUX. Puis, dans un deuxième temps assure qu’il a signé seul un contrat pour LET’S GO publié 10 ans plus tard ! Dans un dernier message (expédié par un certain Jack…), ce label, insidieusement, menace de me poursuivre en justice si je ne les laisse pas exploiter paisiblement toutes mes œuvres, toute ma vie, pour leur propre profit !

Il faut comprendre que pour Mme Vasicka, DEUX c’est uniquement Gérard Pelletier. Ce qui est bien pratique, puisque Gérard n’est plus là pour se défendre ou la contredire... Quoi de plus lâche et de plus sordide que de faire parler les morts ?

Mais DEUX, ça a toujours été Gérard Pelletier & Cati Tête, c’était une amitié avant toute chose. Je ne crois pas une seule seconde que Gérard ait LÉGALEMENT cédé quoi que ce soit « pour toujours » à Minimal Wave sans mon consentement. Nous avons toujours tout décidé ensemble.

Je doute fort que Minimal Wave pourra se prévaloir devant n’importe quelle cour de justice d’être les détenteurs des droits de DEUX « ad infinitum »  et contre ma volonté ; ces sinistres individus ne sont pas les héritiers de Gérard Pelletier et certainement pas les miens !

La règle veut qu’un contrat d’édition, pour être légalement valable, ait une durée limitée dans le temps, en général 3 à 5 ans dans l’industrie musicale. Une durée d’exploitation supérieure à 5 ans (sans jamais avoir recontacté les ayants-droits) sera éminemment suspecte au tribunal ; l’artiste étant toujours considéré par une cour de justice comme la partie faible.

D’autre part, Gérard n’est pas le propriétaire des droits de Cati Tête et ne peut pas les céder à ma place ; encore moins « ad infinitum » ! Mes droits d’auteur (musique, graphisme), d’interprète, d’image, phonogramme, etc m’appartiennent et appartiendront à mes héritiers pour encore 50 à 70 ans après moi. Mais de cela, chez Minimal Wave, Mme Vasicka n’en a cure… elle est sûre d’être propriétaire de DEUX et donc propriétaire des droits de Cati Tête, pour toujours.

De plus, je rappelle que Minimal Wave n’est absolument pas propriétaire du copyright des chansons (c’est la Sacem), n’est absolument pas propriétaire des phonogrammes (Minimal Wave n’est pas producteur (au sens légal), n’a jamais financé l’enregistrement d’un seul titre de DEUX, mais a enregistré des codes ISRC (sans aucune licence spécifique) à son nom en modifiant frauduleusement la durée des titres déjà enregistrés) ; Minimal Wave n’est absolument pas éditeur de DEUX (Les enregistrements frauduleux dans la base ASCAP ne correspondent pas à la base de la SACEM (confirmé par le service sociétaires) où Minimal Wave n’a jamais été déclaré comme éditeur). Vous pouvez vérifier : ici, ici ou encore ici.


Je le dis encore une fois : Minimal Wave USA (et Electronic Sound, UK) n’ont jamais demandé ni obtenu de ma part de droit d’exploitation (interprète, droit à l’image, auteur de la pochette) pour le single PARIS ORLY/EUROPE ni pour le maxi LET’S GO (Auteur de tous les titres, interprète, auteur de la pochette, coproducteur…). Dans un e-mail, Mme Vasicka déclare que je n’ai rien à dire, qu’elle a tous les droits sur mes œuvres, mon image, ma vie  !

J’espère qu’a l’issue d’un procès, tous les disques de DEUX produits pas MW et Electronic Sound seront interdits à la vente, y compris sur la marché de l’occasion.


Je répète, publiquement  : Moi, Cati Tête, membre fondateur de DEUX, auteur, interprète, auteur des pochettes, je n’ai aucun contrat avec Minimal Wave (qui m’ignore depuis 2012) et j’interdis (comme je l’ai déjà fait en 2023) à ce label d’exploiter mes chansons, ma voix, mon image, mes pochettes et mon nom… TOUT CE QUI EST VENDU PAR MINIMAL WAVE (VINYLE/DIGITAL) AVEC MON NOM, MA VOIX, MON IMAGE EST UNE VIOLATION CARACTÉRISÉE DE MES DROITS ET DE MA PERSONNE.


Le public de DEUX doit être conscient que Minimal Wave est la pire chose qui me soit arrivé depuis la création de DEUX avec Gérard. Voir mes œuvres associées et exploitées par ces sombres personnages me rend malade.


Si vous souhaitez me soutenir, merci de ne pas acheter, de ne pas écouter et ne pas diffuser les disques de DEUX publiés par ce label. CAR, ENTRE LES MAINS DE MINIMAL WAVE, DEUX, CE N’EST PLUS DE LA MUSIQUE, MAIS DE LA VIOLENCE QUI FAIT MAL AUX OREILLES ET QUI BLESSE LA VIE.

Merci de ne pas soutenir la contrefaçon.

Merci de ne pas être complice de ces abus et violations.


Cati Tête

Juin 2025


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